Mais, dites… hé !

 



Bonjour la Smala-là (lala-lalalalala-lala....)

Une occasion unique s’offre à moi… Profiter, écouter le rythme de mon souffle, les battements de mon cœur, les messages de mon corps et les bruissements du monde autour…

Quelle qu’en soit la façon, je donne cette attention particulière à mon être, uni à l’univers, la reliance commençant par celle à soi, c’est la soie, c’est doux, c’est là….

Entre reliance et réSIlience, il n’y a qu’un « SI » qui les sépare ; «SI» je porte attention, alors, je fais cas, j’apporte le soin nécessaire à mon Soi… Une belle façon de se soigner, avant que le Soi ne soit nié.

Un Soi soigné aide à faire face aux étapes de la vie, quelles qu’elles soient… Et je rebondis ! (cf. Texte du 1er mai 2023 « Après scies… c’est re-bon »)

N’est-ce pas là une belle définition de la résilience ?

Dans l’inaction apparente au milieu d’un monde en mouvement, là, j’ai l’occasion de vivre cette période sans bouillir, Jenny !

Mettre plus que jamais à profit ce temps de rien, faire un art que d’ajouter ce qui semble inutile à mon emploi du temps.

D’où est-il sommé d’employer le temps à tout prix, Marie, quand tant de temps est gâché à le gagner, à le rattraper ou à le perdre ?

Prendre son temps est une forme d’emploi qui tend à prendre le présent pour le seul temps qui vaille.

Le retour à soi ? C’est inutile ? C’est superflu ? Mais dans nos temps toujours particuliers, le superflu ne reste-il pas relatif ?

Ici et maintenant, je m’offre le présent d’une connexion incontestable et régulière à ma source individuelle, plus vitale qu’à mes écrans ; je transforme le superflu en super-flux relié, pour qu’au terme de la parenthèse, je puisse enfin (ré)unir les thermes chaleureux de mes sources (toujours) bienveillantes aux bruissements du monde.

Que voici un joli « t’aime »…

Bref, quel que soit l’emploi de mon temps, parenthèse ou pas, chaque jour, c’est la vie qui passe…

Oui, le présent, c’est la vie qui passe.

Ce que je qualifierai bientôt de passé constitue aujourd’hui mon présent. Et pour en sortir, de par la nature humaine éternellement insatisfaite dont tout un chacun est constitué, je me surprends à anticiper le futur : « Bientôt un prochain rendez-vous médical… », « Bientôt un scanner de contrôle… », « Bientôt un verdict »… Bientôt, bien tôt, c’est toujours trop tôt comparé l’immédiateté de l’instant…

Ce futur, en son temps, deviendra le présent qu’inlassablement, malgré moi, si je n’y fais pas gaffe, là, Gaston, je polluerais du souvenir de ce passé réchappé de p(n)eu.

C’est parce que nous sommes tous des êtres vivants qui vont de l’avant, qu’on a tendance plus souvent qu’à notre tour, à se projeter dans l’avenir.

Pendant ce temps, que faisons-nous du présent ?

Ce qui suit constitue une révélation à faire circuler. Alors, fais t'en écho, sans éco, ni ambages.

Ainsi.... le présent se vit sensationnellement via les sensations du corps (quels qu’ils soient), dans la conscience de l’instant, dans la constance du souffle, en concentration parfaite de ce que je suis en train d’accomplir (Pour moi, écrire ce texte… Pour toi, le lire…), dans l’attention franche et l’observation appliquée du monde qui m’entoure et de ce qui m’est dit, Mitchell !

Mais, dis… Méditer…. C’est une des ouvertures, un des outils utiles à « funanbuller » sur la ligne de crête. A chacun de trouver son outil...

Seul le présent est indicatif ; il se contemple, est nature par essence, s’éclaire et s’illumine des failles des autres temps.

Le  présent est cadeau, sans condition.

Pourquoi ?

Parce qu’il est à la « foi » au croisement exact du passé / futur (dans l’intemporalité de l’espace-temps), et du céleste / tellurique (dans le mouvement de l’énergie cosmique).

Nos êtres, et particulièrement nos cœurs, en sont le point d’intersection.

Alors, si pour rester au présent, nous restions dans nos cœurs, inconditionnellement ?

Croix de bois, croix de fer, si tu veux, tu peux le faire !

Moi, j’ai choisi et je m’y attèle, Adèle…

 

Sandrinelle ?

Présente !


NB : Tu l'as surement remarqué, Fidèles Lectrice et Lecteur, les textes proposés jusque-là sur Blog à part, Motte à mots de Sandrinelle se lisent sans forcément se suivre.
Mais attention, d'ici peu, les textes vont se suivre !! 
Intriguant, non ? 
Alors prêt ? 
A très vite !
  

👀👀❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤👀👀

 

(N'hésite pas à aller surfer sur le navigateur ; tu auras ainsi accès à tous les autres textes. 

Si tu veux laisser un commentaire, n'hésite pas, et si possible en te donnant un surnom qui me donnera une piste sur ton identité...😉 

Si tu es inscrit, tu peux également répondre à la notification que tu as reçue par mail ; dans ce cas, je recevrai ton commentaire en "private and confidential". (Oui, je parle aussi anglais 😅))

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Des gènes errants - Clap 1 - Ca part de là

Des gènes errants - Clap 3 - Des hydratations

Des gènes errants – Clap 2 – Berceau