Blog à part, motte à mots de Sandrinelle

  B onjour la Smala-attention-particulière, Un peu de poésie (comme une pause au logis), un peu de rime (dans un monde qui en manque), un peu de vers pour notre Terre ou pour nos pommes (ne pas confondre avec " le vers est dans la pomme "😕), un peu de souffle dans un murmure, un peu d’air hissé haut… Bref, voici un petit texte que je dédie à Michèle M. aux initiales pleines d’amour….💖 Elle sait pourquoi c’est pour elle.😜 Mais c’est aussi pour nous tous !   On peut chanter « en rouge et noir » Tout en se prenant pour Jeanne Mas. On peut ne pas toujours savoir Qui sont les bons, qui sont les nazes.   S’il faut toujours aller plus haut, Ca n’empêche pas d’être présent, Et aussi, tenter le grand saut, Surtout si personne ne t’attend…   Si tu le penses, en vérité, Tu peux le dire, bien haut et fort. Il ne va certes rien t’arriver, Sauf, oui, peut-être d’avoir tort.   Mais quand la grâce te tombe dessus, Il n’y a plus que ritournelle, C’

  Bonjour La Smala-allumée, Dans le mot métaphore, il y a « fort » 😉….Comme fort à parier qu’on a tous besoin de détendre son mental pour, entre autre, mieux laisser parler son cœur. Et puis, il y a cette chaleur, qui nous assaille fort, à tel point qu’on en est à se demander : « Mais qui a allumé le feu ? ». C’est sans compter les curieux abus de « pour-voir », les ego (et mégots) enflammés, les gisements (et gisants) épuisés, les conflits d’un-terre-eh, la course à les chaleurs, la sur-conso-popu-ma-la-tion, bref, au final, c’est Gaïa qui souffre en silence, faisant comprendre à la terre entière qu’elle n’est plus à prendre avec des pincettes (enfin, si, avec des tisonniers, peut être…) à présent et qu’il va falloir rapidement retourner notre veste pour nous maintenir terrien, sinon, t’es rien, bientôt… Mais je m’égare... Là n’est pas le sujet (même si il est d’importance). Qui donc a allumé le feu ? Du feu, l’en faut. Comme tout ce qui nous est offert. L’en faut suffisa

Bonjour, la Smala-affolement-de-gratitude !  C’est une technique reconnue et bienfaisante que de remercier chaque jour ce qui a fait ta journée. Si tu es en panne d’imagination, ou pire, en panne d’actualité appelant la gratitude, voici un florilège de reconnaissances que tu peux prendre à ton compte, ou à ton conte (si tu aimes bien les histoires). Tu remarqueras qu’il est évolutif, ce florilège ; il part du néant… pour repartir au néant. Et nous, on est au milieu… C’est parti ? Accroche-toi !...... Merci au big bang initial d’avoir été. Merci à la vie d’en « naître né ». Merci à nos existences d’en jaillir, comme des présents, ici et maintenant. Merci la vie, son impermanence, son imprévisibilité qui font croire en un avenir palpitant à vivre, tout autant que le présent, comme un cadeau. Merci aux bienfaits du corps qui bouge, qui se meut ( oh, la vache  !) , qui peut le faire, tant qu’il le peut. Merci à la juste place des choses, toujours ; quant à celle des êtr

(Chou et Chou 😊) Un jour, une amie m'a dit : " J'aime bien ce que tu écris, mais je ne sais jamais où tu veux aller !... " Moi-même, dès que je démarre un texte, je ne sais pas. Mais faut-il forcément un but ? L’essentiel, n’est-ce pas le chemin (ou la Quête, comme le dit si bien Orelsan dans son très chouette titre éponyme), ce chemin, celui-là même que je veux comme parsemé de guimauves, douces, tendres, moelleuses ; pour que stratégiquement, en cas de chute, tout soit amorti, la douleur, la blessure, le son, la chute, chut… sans bruit, sans se faire remarquer. Dans notre monde de performances, n’est-il pas reposant de prôner (et se poser sur) la légèreté, la superficialité, en douceur. La profondeur, elle, reste de l’ordre de l’intime, n’appartenant qu’à celui qui l’est. Et c’est celui qui dit qui l’est… Pouce, pouce ! On dirait que c’est comme dans les cours d’école. Seul l’instant compte, l’instant du jeu, (qu’on confond ensuite avec l’instant du je, moi,