Liste..... Et ris !!...

Bonjour, la Smala-affolement-de-gratitude ! 

C’est une technique reconnue et bienfaisante que de remercier chaque jour ce qui a fait ta journée.

Si tu es en panne d’imagination, ou pire, en panne d’actualité appelant la gratitude, voici un florilège de reconnaissances que tu peux prendre à ton compte, ou à ton conte (si tu aimes bien les histoires).

Tu remarqueras qu’il est évolutif, ce florilège ; il part du néant… pour repartir au néant. Et nous, on est au milieu…

C’est parti ? Accroche-toi !......

Merci au big bang initial d’avoir été.

Merci à la vie d’en « naître né ».

Merci à nos existences d’en jaillir, comme des présents, ici et maintenant.

Merci la vie, son impermanence, son imprévisibilité qui font croire en un avenir palpitant à vivre, tout autant que le présent, comme un cadeau.

Merci aux bienfaits du corps qui bouge, qui se meut (oh, la vache !), qui peut le faire, tant qu’il le peut.

Merci à la juste place des choses, toujours ; quant à celle des êtres, c’est affaire personnelle que de se sentir à sa place, pas plus, pas moins, eu égard à l’ego qui lui aurait tendance à trop s’épancher, à se disperser comme flaque d’huile qui poisse et encombre.

Merci au souffle qui nourrit, dans la conscience de l’inspire, de l’expire et de chaque cellule sustentée profondément par ce mouvement.

Merci à la douceur des choses qui nous permettent de nous lover, retrouvant notre originalité, cette source d’amour… Lovons-nous les uns les autres !

Merci à la vie d’avoir des confins de réalité, nous aidant à percevoir les confins de l’irréalité, en dehors de nos zones de confort, en reliance avec notre intuition profonde, percevant l’indicible, l’impalpable, ramenant le tout aux confins de la réalité, bouclant ainsi la boucle et nous transformant en être à part entière.

Merci au mental d’être là, mais, à parts égales avec intuition, sensation, cœur, inspiration et perception de la beauté environnante, créatrice et inspirante.

Merci pour ce que nous offre et nous souffle Dame Nature aux Paysages Eclatants, nous, les petits locataires de Gaïa, quand nos yeux savent s’attarder pour se remplir de sa beauté, oubliant un instant que d’autres sont en train de la saboter.

Merci l’unis-vers, de nous porter toujours plus haut tout en restant les pieds sur terre, faisant de nous le « fil amant » reliant terre et ciel, trait d’union tellurique au céleste.

Merci aux astres de briller et filer sous nos yeux, comme autant de preuves de lointaines intemporalités. De fait, merci à l’existence du principe de relativité, sur cette Terre-ci.

Merci à l’équilibre qui fait fi des extrêmes tout en mettant en relief les nuances perceptibles aux intuitifs.

Merci à cette recherche (qui se devrait d’être) constante d’équilibre, contribuant à orienter notre attention vers l’essentiel, pour la survie des petits locataires que nous sommes tout autant mais avant tout, pour la survie de Gaïa.

Merci à chaque sourire, à chaque serrement de main échangés ou croisés, sincères, justes, superficiels ou légers.

Merci à la superficialité et à la légèreté qui ne font que révéler la richesse des profondeurs.

Ainsi donc, merci à tout et son contraire.

Merci aux changements parfois tsunaminiques, qui confirment l’existence de l’impermanence et de l’imprévisibilité, ouvrant de nouveaux horizons, une position d’accueil étant de mise.

Merci à la gratuité de la gratitude qui apporte des petits chambardements de l’ordre de l’intime, tout en nous confortant que le chemin suivi est bien le nôtre, balayant de côté pour un instant les dilemmes, les différends, les disparus, les dioxines, les divisions, les dirigeants, les divergences, les digagas, les distorsions, les disputes. (tu peux compter, y’en a bien dix 😃)

Et toi ? Que provoque en toi la gratuité de la gratitude ? J

Pour une fois que quelque chose est gratos !....

Sûr qu’on ne risque rien à s’y essayer (acier, c’est yeah ! J), à part finir par croire dur comme fer (acier/fer… tu l’as ? J) aux apports bénéfiques de cette posture ! 

Puis, la magie opère, comme un puits sans fond, nous extrayant hors de notre zone de confort.

Alors….

Alors…

Merci au big bang à venir. (Pas de panique, on ne sentira rien….)

Merci à d’autres formes de vie d’en être. D’en naître.

A bientôt, ici ou là-bas, mais plus sûrement ici et maintenant !

 

Sandrine-aile –

Merci à l’inspiration qui me traverse, qui m’exaltera jusqu’à l’expire finale

(surtout si tu me mets des commentaires !! J)