L'ONU (l'Ode aux Nouveaux Usages), au pays des merveilles...
Bonjour La Smalaffaire-personnelle,
Comme une éloge à la petite fille qu’il m’a été donné de voir naître le 22/03/22 (date miroir du pays des merveilles _I_), j’exprime là, dans le texte qui va suivre, gratitude à la vie et aux ondes profondes qui nous ancrent chacune et chacun en une même vibration de joie. Bien sûr que c’est possible ! Il suffit juste de brancher les fiches pour que le courant passe, bien mieux qu’un « pass ça ni taire ».
Ainsi, j’entends le son de l’âme,
l’âme-son, et je te livre, « des livres » et « des
voiles », avec joie, enthousiasme et zèle zen ce que j’ai sur mon cœur.
Puisses-tu percevoir le doux
frémissement d’un parfait enchantement.
La primeur de l’expérience est le
partage (« part-âge »). Alors que chez le primeur du coin, il est mal
venu de vendre du trop mur, proche du blette, qu’est ce qui nous empêche de
partager nos belles expériences sans attendre de tomber de l’arbre ? La
Terre ne s’en porterait-elle pas bien mieux, si on se connectait tous, ici et
maintenant, sur un courant d’allégresse, nous permettant d’accéder à des
moments de liesse, comme une mesure, une seule, sans dualité ?
Sujet du texte qui suit, comme un atelier d’écriture :
« Ecrire un discours à la gloire d’Alice qui pourrait être lu à
l’ONU ».
Ainsi, voici « ALICE AU PAYS DES VERMEILLES » :
« Bonjour
à vous, mère, père, grand-mère, grand père, sœurs, frères, tantes, oncles et
toutes les ramifications que constitue la Famille.
Il m’a été
demandé d’écrire ce discours à lire à L’ONU.
Mais tout
d’abord, permettez-moi de re situer la chose. L’ONU n’a-t-elle pas été
rebaptisée récemment ? Oui, on me confirme ; l’ONU est devenue
l’Ode aux Nouveaux Usages.
Dans ce
contexte, je propose d’attribuer à la Famille une appartenance sans frontière,
sans différents ni différences qui font souvent comparaisons des déraisons.
Chacun sa place, encore faut-il la connaître.
Par ce discours, je veux aujourd’hui vous faire part de ce qui me conforte dans tout ce que j’ai accueilli de ma naissance à ce jour, cette conscience d’y être, à ma place, un tout petit maillon d’une chaîne me donnant ce sentiment d’appartenance, tout en restant là où je dois être. Qu’il s’agisse du malheur ou du bonheur de chacun, tout me touche, c’est humain, mais je garde la distance nécessaire pour réserver ma sensibilité à ce qui me touche dans l’immédiateté.
Qu’il s’agisse d’un malheur, je puise en moi la FORCE.
Qu’il
s’agisse d’un bonheur, je puise en moi la JOIE.
Force et
joie se partagent, c’est ce que je souhaite faire ici, puisque l’occasion m’en
est donnée.
Alice est toute petite, fragile miniature dans son habit blanc d’ange.
Elle a les
trais fins, vraiment très fins, et ne fait que commencer à ouvrir les yeux à la
vie.
Je lis à
travers ses prunelles comme je lis dans les livres la naissance d’une belle
âme.
Même si
son regard n’accroche pas encore celui qui la regarde, il dit qu’elle sait qui
l’on est, quelque soit celui qui l’observe.
Même si la
couleur de ses yeux n’est pas définitive, il a toujours été celui-là, regard
d’éternité.
Sa petite
frimousse s’éveille à la vie, remuant de droite et de gauche, comme on le fait
au yoga pour délier les cervicales.
Ces mouvements
sont fluides comme des caresses à l’air, l’air de rien. Elle accueille ce qui l’entoure,
curieuse, découvrant sans déconvenue, toutes ces nouvelles sensations
sensationnelles.
Elle
consent à la vie, Alice.
Elle se
laisse traverser par le souffle qui lui fait émettre de puissantes respirations
comme des libérations ; ces ondes de vie la parcours des narines au ventre
et du ventre aux narines, elle ne fait qu’un avec le souffle de vie.
Elle n’use
de vocalise que quand quelque chose la contrarie. A toi de savoir de quoi il
s’agit ; eh oui, il faut bien que tu participes un peu à ces nouveaux
usages…
Elle est
dans l’instant, Alice, juste dans l’instant présent.
Si
nouvelle, et pourtant, elle nous apprend déjà bien des choses des usages de la
vie.
Puissions-nous
les intégrer rapidement, ces usages, avant qu’elle ne les oublie, elle, façonnée
par nous qui oublions les usages ; le consentement à la vie dans le
souffle et l’instant présent.
Oh temps (OTAN ?... J) !... Suspends ton vol quand l’ange Alice est là, pour que tout demeure ainsi, heureux, silencieux et tranquille, irradiant d’ondes positives tout en reliant tout un chacun par la voie du cœur qui ne voit que beauté.
Oui, dans
un monde où l’ONU est devenue bien plus utilement l’Ode aux Nouveaux Usages,
par cet éloge à Alice, je porte aux nues (ONU !) et avec joie sa naissance
et chacune d’elle, qui font de nous, où que l’on se trouve, les maillons d’une chaîne indispensables à la bonne marche du monde, en une ronde FORTE et JOYEUSE.
Merci de
votre attention.
Vive la Vie,
vive la Terre,
vive l’Univers.
A l’infini. »
Sandrinelle
Toujours autant de plaisir à te lire ;-))
RépondreSupprimerMerci Agnès B.... Mais c'est Agnès B de G ? Parce que j'ai aussi une Agnès B de C qui est inscrite ;-)))
SupprimerTrès joli texte, c est bon de te lire ....merci de ton travail et de ta fraîcheur généreuse
RépondreSupprimerTrès émouvant pour une nouvelle grand mère que je suis
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